Préoccupés par la pénurie de chauffeurs de taxi, des propriétaires et coopératives de taxi de Québec réclament un projet-pilote comme celui de Montréal réduisant le nombre d’heures de formation des chauffeurs. À l’ère d’Uber, la formation actuelle obligatoire de 110 heures rebute totalement la relève, dénoncent-ils.
Or, une réunion a justement été convoquée, lundi après-midi, entre les différentes coopératives de taxi de la Capitale-Nationale pour discuter du sujet, a affirmé au Soleil, dimanche soir, Abdallah Homsy, président du RITQ.
«C’est certain qu’il y a des difficultés à recruter. Oui, il y a moins de chauffeurs. Mais on va attendre de voir ce qui va ressortir de la rencontre de demain [lundi] avant de se prononcer au nom de toutes les coops de taxi de Québec.»