« La situation dans laquelle on est rendus, on ne l’a pas choisie, souligne un porte-parole du RITQ, Félix Tremblay. Elle nous a été imposée par le gouvernement Couillard. »
http://www.journaldequebec.com/2017/11/03/les-taxis-veulent-etre-dedommages-pour-1g